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HOMMAGE A MARCUS MOSIAH GARVEY, PREMIER PRÉSIDENT DE L’ÉTAT FÉDÉRAL D'AFRIQUE NOIRE (17 août 1887 - 10 juin 1940) Marcus Mosiah Garvey est né le 17 août 1887 à Saint Ann’s Bay en Jamaïque, et est parti rejoindre son KA divin (mort) le 10 juin 1940 à Hammersmith à Londres. Le nom Mosiah vient du fait que sa mère, fervente catholique, avait souhaité nommer son fils, Moses (En français Moïse). Mais le Père de Garvey, ne faisant partie que de la deuxième génération des Africains déportés dans les Caraïbes, et de ce fait encore bien ancré dans les traditions Africaines, a…
Gérard Soete, le belge qui a coupé le corps de Lumumba en 34 morceaux à la troçonneuse. Le 0034, c’est le code international de la Belgique De retour en Belgique après 1973, Gérard Soete qui conserve toujours un doigt, une dent  et l’alliance de Patrice Lumumba, contera cette terrible nuit dans un roman, « pour (se) soulager », mais sans livrer son nom. BRUGES (Belgique), 15 mai 2002 (AFP) – Près de quarante ans après l’assassinat de Patrice Lumumba, le Belge Gérard Soete vient enfin de se défaire d’un lourd secret : une nuit de janvier 1961, dans une puanteur d’acide sulfurique et de cadavres…
vendredi, 07 août 2015 00:00

La femme africaine dans l'antiquité

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NOUVEL AN KAMIT 6252 A ABIDJAN ; CONFERENCE DE ETTE THEODORE SUR LA FEMME AFRICAINE DANS L’ANTIQUITE         Ce texte est le résumé d’une conférence donnée par le frère Etté Théodore à l’occasion de la commémoration du nouvel An Kamit 6252 organisée par la Division Afrocentricity International d’Abidjan,  le samedi 18 juillet 2015 au Centre Culturel Panafricain. Etté Théodore est docteur en mathématiques, enseignant - chercheur à l'université de Cocody et responsable de la langue phraonique au Cours d'Egyptologie et d'Histoire des Civilisations Africaines.
La faute à l'école, on a en tête une image un peu idéalisée des philosophes des Lumières que l'on voit comme des gentils mecs qui défendaient corps et âme la veuve et l'opprimé. Ce n'est pas tout à fait ça. Parce qu'en vrai les Lumières étaient en fait des gens de leur époque aux idées plutôt très discutables. Le pire étant quand même Voltaire qui cumule racisme antisémitisme et misogynie. "Quoi qu'en général les Nègres aient peu d'esprit, ils ne manquent pas de sentiment."Diderot (Encyclopédie, 1772) "Dire que les Égyptiens, les Perses, les Grecs furent instruits par les juifs, c'est dire que…
    L’étude vise à montrer comment, à travers l’exemple du manuel français d’histoire de la classe de Cour Moyen, l’enseignement dans les écoles étrangères sur le sol ivoirien vise à dévaloriser l’Afrique et les Africains dans l’imaginaire des enfants… Aussi il convient de s’interroger sur l’avenir de ces enfants de l’élite économique…et sur la pérennité de la personnalité culturelle africaine dans  notre société.
  PRESENTATION : L’école des otages de Saint Louis est le premier établissement scolaire public créé par la France en Afrique de l’Ouest en 1855. Mais en vrai, c’est tout le système scolaire « moderne » africain qui apparait comme une vaste "école des otages". Dans ce texte, l’historien Boni Mel revient sur la genèse de cette institution. Il procède à une introduction générale de la question et s’attèle à saisir les buts de l’école coloniale.
mardi, 14 octobre 2014 23:00

HOMMAGE A THOMAS SANKARA (15/10/87 au 15/10/14)

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Le 15 octobre 1987, toute l'Afrique fut ébranlée en apprenant la mort brutale d'un de ses dignes fils, assassiné par les Impérialistes, avec comme souvent un traître jouant le rôle de troisième homme .  « LE CHAMPAGNE POUR QUELQUES UNS OU L'EAU POTABLE POUR TOUS », il opta pour le second choix, raison principale de son assassinat. EXTRAIT DE SON DISCOURS A HARLEM L'IMPERIALISME ... A BAS !LE NEOCOLONIALISME ... A BAS !LE RACISME ... A BAS ! GLOIRE ... AU PEUPLE !DIGNITE ... AU PEUPLE !POUVOIR ... AU PEUPLE !LA PATRIE OU LA MORT ... NOUS VAINCRONS ! CE…
BONI MEL ET TRAORE ADAMA (Texte extrait  du fascicule 7 édité par l’association Kemetmaat en septembre 2012. Publié sur le site dyanbukam.com avec l’aimable autorisation de Kemetmaat.) PRESENTATION « L’histoire qui sert est l’histoire qui construit la conscience historique du citoyen et qui le rend apte au patriotisme. Or l’enseignement de l’histoire dans nos écoles est un déni permanent et une occultation à tout prix de notre passé. Tout semble être mis en œuvre pour que les africains en sachent le moins possible sur les gestes de leurs ancêtres, tout en faisant croire qu’on les forme à l’histoire. » (Traoré Adama, Fascicule…
L’Association Universelle pour l’Avancement des Noirs (UNIA) était le plus grand mouvement panafricain de masse de tous les temps. Elle a été créée en 1914 par Marcus Mosiah Garvey (1887-1940) à Kingston, en Jamaïque. Imprimeur, journaliste et militant politique, de retour après 4 années de voyage en Amérique Latine et en Europe
mercredi, 06 août 2014 07:19

Clarification sur le sens de la lutte

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Récemment, j'ai eu un échange passionnant avec un frère, sur le thème de la suprématie blanche. Pour ce frère, celle-ci est une fiction, puisque les "Blancs" ne constituent aucunement un bloc monolithique. La société européenne fonctionne, selon ce frère, par castes : les nantis, la petite bourgeoisie, la classe moyenne, les travailleurs pauvres et les exclus du systèmes. Ces différentes classes sociales prouvent l'inexistence d'une communauté d'intérêts de ceux qui se "définiraient comme Blancs".
dimanche, 23 février 2014 23:00

Chronologie de l'histoire africaine

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Il y a 30 millions d’années : Aegytopithecus, peut-être le plus ancien ancêtre des hominidés et des pongidés, existe dans la dépression de Fayoum en Egypte. Il y a 10 million à 4 millions d'années : Les hominidés se déplacent des forêts jusqu’aux savanes d’Afrique de l'Est. Il y a 8 millions d'années : Les hominidés et les pongidés se séparent.
dimanche, 23 février 2014 22:54

Histoire

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Longtemps, mythes et préjugés de toutes sortes ont caché au monde l’histoire réelle de l’Afrique. Les sociétés africaines passaient pour des sociétés qui ne pouvaient avoir d’histoire. Malgré d’importants travaux effectués dès les premières décennies de ce siècle, par des pionniers comme LéoFrobenius, Maurice Delafosse, Arturo Labriola, bon nombre de spécialistes non africains, attachés à certains postulats soutenaient que ces sociétés ne pouvaient faire l’objet d’une étude scientifique, faute notamment de sources et de documents écrits.

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